Le mot, concept, de virtualisation a pris le pas sur celui de consolidation, et pourtant celui-ci me semble plus juste, car il correspond bien plus souvent à l'objectif de diminution des coûts d'infrastructure.
On attends de cette virtualisation des gains en terme de couts d'infrastructure et de personnel mais aussi un apport de souplesse dans la gestion de la puisssance disponible.
La consolidation par virtualisation perds de son sens dans le domaines des bases de données, ou la consolidation est plus l'affaire du concept de grille. Les deux autres limites auxquelles la virtualisation doit faire face sont l'explosion incontrôlée des licences ou l'empilement des couches techniques.
A-t-on besoin de virtualiser les OS pour virtualiser l'accès à une ressource ?
Ma réponse est non , je pense meme que pour de nombreux cas le concept de grille de calcul a plus de sens que la consolidation par virtualisation.
La répartition des services sur une multitude de petites machines a entrainé la consolidation par virtualisation .
L'autre approche virtualisation par la mise en place d'une grille me semble séduisant mais peut etre un peut plus complexe. c'est pour cela peut-etre qu'il se cache derrière le nuage.
En tout cas le concept de grille dans les bases de données relationnelles, dont le leader Oracle à le quasi monopole, emerge avec difficulté.
En six années d'activité autour du cluster CRS et de l'optoon RAC d'Oracle , je n'ai jamais vu de cluster, qui pourrais prétendre au titre de grille.
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